La peur, les angoisses



J’ai envie de voir mes amies, ma famille comme je le souhaite, sans masque, sans distanciation, justement pour me rapprocher, créer du lien, toucher affectueusement, embrasser avec tendresse, partager des rires, avec ce regard complice qui dit que nous nous sommes compris.

 

J’ai envie de voir l’expression du visage de l’autre, ses moments de réflexions, de doutes, de joie, de bonheur qui marquent significativement les visages, les visages que je regarde, en entier, les sourires qui se dessinent sur ces visages, synonymes d’une âme heureuse. 


J’ai envie de parler avec des inconnus, d’échanger, sur le lieu dans lequel nous nous croisons. J’ai envie de faire un sourire aux passants, comme ça juste pour le plaisir et aussi pour leur dire, nous sommes dans ce même monde ensemble et il n’y a rien à craindre, car mon sourire vous envoie de la paix. 


Mais j’ai peur. Peur de ces gens que je croise, qui ont peut-être ce fichu virus, peur qu’ils soient vaccinés ou peur qu’ils ne le soient pas. D’un coup, ces gens deviennent un risque, ils représentent une menace. l'angoisse monte en moi, je me sens oppressée. Toutes ces personnes, mes amies, ma famille sont potentiellement dangereux. Le simple fait d’aller dans un commerce, respirer l’air recyclé par la climatisation peut me faire attraper ce virus.


J’ai peur. J’ai peur de tout et de tous. Alors, je reste chez moi et pour avoir moins peur, je me fais vacciner, comme ça je serais protégée, du moins en partie, puisque j’entends dans les médias que je peux tout de même attraper ce virus, mais moins fort disent-ils.

 

Mais j’oublie que j’ai un système immunitaire, qu’il fonctionne bien si mon hygiène de vie est convenable. 

J’oublie aussi, que ma joie de vivre renforce mes défenses immunitaires, j’oublie de bien respirer avec les exercices que ma Sophrologue m’a transmis. 

J’oublie de lâcher prise, de cesser de m’accrocher à cette peur. J’oublie aussi que je suis mortelle et que même si ce n’est pas pour tout de suite ça arrivera un jour, mais en attendant je vais vivre, vivre heureuse, pleine de joie de bonheur d’avoir ce que j’ai, de voir le soleil se lever le matin, d’entamer une journée pleines de projets, d’idées, de rencontres, je vis en étant heureuse de partager des moments délicieux avec ma famille, mes enfants, petits-enfants.

 

Toi la peur, tu ne m’auras plus, car tu me conseille mal. Tu ne m’auras plus car je suis sûr de moi, de ce que je suis, de ma bienveillance. Je respecte les consignes de sécurité, normalement, pas à outrance et même si j’attrape ce virus, mon corps le combattra car il est fort. Mon mental donnera les directives de la guérisoncar c'est ce que je veux.


Toi la peur, tu ne me feras plus penser que les autres sont un danger, car j’aime les autres autant que moi-même. Je te laisse partir la peur, ne vient plus perturber mes pensées, car je suis plus forte que toi.









Mieux dormir avec la sophrologie

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Je suis plongée dans un bon film, il y a de l’action, l’intrigue me tient en alerte. Je suis détendue sur mon canapé, ma tête repose sur des coussins et je me laisse bercer par ce film. Oh zut, je me suis endormie !! Puisque le sommeil m’appelle, je vais aller me coucher, dans mon lit. 


Je m’allonge, mais mes yeux restent grands ouverts, je n’ai plus sommeil. Je regarde l’heure, oui, il faut que je dorme. La moulinette commence dans ma tête. Les images défilent, les émotions aussi, je ressasse les événements des derniers jours, mais d’un coup, d’autres plus lointain arrivent dans ma tête. Mais comment se fait-il que je pense à cela ? c’est bizarre, c’est si loin.  Les plus récents reviennent, avec leurs questionnements. Je fais les questions et les réponses, toute seule comme une grande. Les heures défilent et je ne dors toujours pas. Tiens, puisque je ne dors pas je vais jouer à un jeu sur ma tablette, je penserais à autre chose. Bon, là je ne peux vraiment plus dormir, j’ai l’impression que ça m’a donné un regain d’énergie.  


Bien sûr, je constate cela pratiquement toutes les nuits. Ok, je vais changer ma façon de faire. Je vais me préparer au sommeil, et choisir l’heure de mon couché.

15mn avant l’heure, je me détends, je réalise quelques exercices respiratoires. Je me sens plus calme. 


J’inspire en comptant 4, je bloque ma respiration en comptant 7 et j’expire en comptant 8. La détente arrive, je me laisse glisser.


Je répète en position allongée cet exercice, autant de fois que nécessaire. Je me sens, apaisé, prête pour une belle nuit de sommeil. 


J’aime aller me coucher, mon lit est agréable et me plonger ainsi dans la nuit, ou tout est calme, me donne l’impression que je suis seule au monde. Ma couette est toute douce, il règne une douce chaleur, je me sens bien à l’idée de rejoindre quelques fées avec lesquelles je vais pouvoir rêver, en me retrouvant dans un éden plein de couleur, des champs de fleurs à perte de vue, des rires, et une douceur extrême.  




Comment gérer la douleur

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Quelle soit physique ou mental, c’est une gêne, une chose qui habite mon corps ou mon mental. J’ai toujours l’impression que ce n’est pas naturel, que ça n’a aucune raison d’être là. La douleur occupe mon espace vital, elle prend toute la place, elle colore toutes mes pensées dans un sens négatif, puisque ça ne fait pas du bien la douleur, ça fait mal. Alors, je lui en veux à cette douleur, je la déteste, je voudrais qu’elle parte, quelle aille voir ailleurs, parce que ma joie de vivre est altérée, mais elle s’en fiche la douleur, elle reste là.


Si elle s’apaise, je ressens un regain d’énergie, d’espoir, mais lorsque qu’elle s’intensifie, elle me replonge dans un vide ou tous mes projets, s’évanouissent, n’ont plus aucune importance. Je laisse tomber, je n’ai pas envie de quoi que ce soit, je ne vis qu’avec elle. Sur le long terme, je finis par m’habituer à elle, elle devient une compagne. Elle fait partie de ma vie. 


Et bien non douleur, tu ne fais pas partie de ma vie, tu n’as pas à être là. Mon naturel est joyeux, plein d’entrain, de projets, de complicité, d’échange, de rires, de découvertes, de rencontres. Je ne vais pas te combattre, je vais accepter que tu sois là, pas parce que je suis d’accord, mais parce que c’est un fait, car je sais que c’est en t’acceptant, que je me libèrerais de toi 


Si je ressens une douleur physique, Je vais me poser, prendre une grande inspiration, comme pour te dire alors vas-y, dis-moi ce que tu veux me dire. Je vais choisir une couleur que j’aime, qui représente la joie, la vie, le bien-être, que Je vais prendre soin d’appliquer sur la zone douloureuse, et je vais souffler, comme pour lui dire de partir tranquillement, calmement. Je vais répéter cette opération à plusieurs reprises, en relâchant tous les muscles de mon corps et ça fait du bien. 


Si je ressens une souffrance liée au mental, je me concentre sur ma respiration. J’inspire doucement et j’expire doucement. Je remarque qu’elle a disparu, car je l’ai lâché cette souffrance, j’ai concentré mes pensées sur ma respiration. D’un coup, cette pensée douloureuse n’existe plus.


Adieu douleur, me voilà rassurée, car si tu daignes revenir, sache que je t’accueillerais pour mieux me libérer de toi.



Un moment pour soi

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Imaginez que vous ayez une multitudes de choses à faire. Préparer les repas, aller chercher les enfants à l'école, l'aide aux devoirs, ranger votre maison, finaliser un dossier professionnel, bref! la liste peut être longue et risque de créer des tensions, non seulment au sein de votre famille, mais aussi au sein de l'équipe avec laquelle vous travaillez. 

Vous risquez de vous agiter dans tous les sens, sans obtenir les résultats escomptés. Vous êtes sensible aux contrariétés et vos nerfs ont raisons de vous.


Il serait temps de faire une pause.

Quelques minutes suffisent pour retrouver un moment de calme, de sérénité, d'apaisement.

Installez-vous dans un endroit ou vous ne serez pas dérangé(e). centrez-vous sur votre respiation et uniquement sur votre respiration. Pendans quelques minutes, inspirez et expirez doucement, à votre rythme, tranquillement.


Laissez vos tâches au bureau, ça peut attendre demain, sachez que plus vous serez détendu et plus vous serez efficace.


Fermez votre téléphone, déconnectez-vous pendant ce temps à vous. Découvrez les sons autour de vous, sans jugements, juste être là, présent(e) à vous même.


Respirez les odeurs d'huiles essentielles, la mandarine est très calmante, la lavande. Je vous invite à vous masser l'intérieur des poignets avec une huile végétale d'abricot par exemple, et un goute d'huile essentielle de mandarine ou de lavande. 


Mettez une musique douce, agréable et rythmez votre respiration sur cette musique